Y'a du monde aux Balkans !

Dans les Balkans c'est souvent le même constat : il y a plein d'hommes dans les rues ! Des groupes de 5 ou 6 hommes qui papotent, ne font rien, boivent des cafés, observent, travaillent, font des pauses, regardent d'autres travailler : il y en a partout, c'est fou ! Des vieux, des jeunes : partout ! Parfois ça crée des ambiances étranges. Ça anime les centres-villes d'une activité dense, ça fourmille comme les fourmis c'est étonnant ! Mais alors, ou sont les femmes (se demande le chanteur hébété) ? On en voit quelques discrètes qui poussent des caddies ou tirent des poussettes ou l'inverse. Elles sont furtives voire fuyantes mais répondent instantanément à nos bonjours. On les voyait également dans les jardins ou les champs à travailler. Au Kosovo les centres-villes étaient beaucoup plus mixtes. Dans tous ces pays, il y a un truc qui a souvent agacé ma sexycliste : quand elle posait une question c'est à moi qu'on répondait, c'est à ma sexycliste qu'on coupait la parole, c'est à moi qu'on serrait la main... Et ma sexycliste alors, connard ?! Bon la plupart du temps ça se passait bien : on l'écoutait, on lui répondait normalement mais quand le mysomacho-connard se manifestait ma sexycliste devenait toute rouge colère... Et ça j'aime pas ! Il y a un autre truc qu'on a pas compris venant des femmes : c'est les grandes baffes dans l'épaule que ma sexycliste a reçu, principalement en Albanie. Pas de la petite tapette, nan ! De la claque de maçon façon " t'es ma pote, solidarité féminine ! ". Elle a voulu esquiver mais l'albanaise est futée pour coller sa bouffe au moins ou tu t'y attends le moins... Et BIM ! " T'es ma pote ! " BIM! Grand coup dans l'épaule... Elles l'ont secouée comme un sapin de noël ma sexycliste, en toute amitié bien sûr ! Il n'y avait jamais d'agressivité derrière ses gestes, jamais, c'est ce qu'il faut comprendre.